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 Fiches prédéfinies

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Kiziah D'Eiras

Kiziah D'Eiras


Messages : 8
Date d'inscription : 13/03/2008

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MessageSujet: Fiches prédéfinies   Fiches prédéfinies EmptyJeu 3 Avr - 0:19

Pour ceux qui auraient du mal à trouver leur propre personnage, une liste de prédéfinis sont à votre disposition, liste qui se rallongera au fur et à mesure. Vous pouvez changer les avatars si vous le désirez tant qu'ils restent dans le même esprit.

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Phérêne Khaos

Fiches prédéfinies P_k_214


Nom : Khaos

Prénom : Phérêne

Age : Vingt quatre ans

Taille / poids : 1 mètre 70 et 65 kilos

Origine : Catharlys

Description physique : L’aspect de dualité contenu dans Phérêne se retrouve jusque dans son apparence physique. En effet il est difficile de la caractériser : féminine ou garçon manqué ? Attirante ou repoussante ? Sûre ou dangereuse ? Là est tout le problème : elle est tout à la fois. Le jour c’est une jeune fille banale, aux cheveux acajou et aux yeux bruns brillant d’une lueur rouge. Son visage délicat, sa peau pâle et ses vêtements sophistiqués sont la preuve de son appartenance à une famille importante. De plus son sourire perpétuellement fixé sur ses lèvres donne immédiatement envie de lui parler.

Mais la nuit, là, tout est différent… Sa peau devient verdâtre, ses yeux se teintent d’un vert-jaune fluo qui lui permet de distinguer n’importe quelle ombre en pleine obscurité, sa chevelure se fonce inexorablement et son regard tient plus de celui d’un tueur en série en manque d’effusion de sang que d’une aristocrate. Elle n’a alors plus rien à voir avec la jeune fille mince, grande et svelte que tous connaissent. Ses instincts primitifs réagissent au quart de tour et elle ne peut rien faire pour l’empêcher, c’est inscrit dans son code génétique. Ses mouvements sont rapides, presque imperceptibles. Une vitesse surnaturelle s’empare de ses membres et les cascades les plus incongrues sont à sa portée. Une véritable arme de guerre.

Implants cybernétiques : Une main perdue lors d’un entraînement particulièrement pénible et une certaine puce logée dans sa nuque…

Caractère / qualités - défauts : Son caractère est évidemment lui aussi à scinder en deux parties bien distinctes. La Phérêne dans son état normale est très amicale, chaleureuse et serviable. Elle ne se lasse pas d’aider les autres autant qu’elle le peut mais sait également se montrer discrète. Elle est en fait la parfaite amie : gentille, agréable, confidente modèle et caractère de miel. Mais attention, elle ne va pas jusqu’à se laisser marcher dessus : elle sait ce qu’elle veut, reste la plupart du temps bien campée sur ses positions et ses avis. Elle arrive toujours à s’arranger pour obtenir tout ce dont elle désire, bien rares étant les quelques téméraires qui s’obstinent à lui refuser ses quatre volontés et désirs. Il ne lui arrive que rarement de piquer des colères et ses sentiments profonds sont contenus à l’intérieur d’elle très précieusement, elle ne les laisse sortir qu’en cas exceptionnel.

Son aspect nocturne est tout autre. Féline, calculatrice et animale, plus rien d’humain ou presque ne subsiste. A mi-chemin entre le robot et le félidé en pleine période de chasse intensive, elle se laisse aller à ne plus rien penser ni ressentir d’autre qu’un effrénée recherche du vice, du meurtre et du mal dans son ensemble. Elle ne parle jamais dans ces moments, concentrée sur son objectif qui diffère selon les nuits. Ses yeux sont froids et vides, rien ne transparaît dans son expression placide. Lors des longues « missions » elle revient souvent épuisée et de très mauvaise humeur dans sa peau habituelle, ces activités nocturnes laissant peu de place au sommeil réparateur. En un mot, si vous croisez Phérêne au beau milieu de la nuit, il n’y a qu’une chose à faire : fuyez.

Biographie : Baignant dans le luxe dès sa naissance, Phérêne a toujours été une enfant gâtée. Sa mère étant sœur de l’Imperator et son père issu de l’aristocratie, elle fut depuis le berceau habituée à recevoir le monde sur un plateau au moindre claquement de doigt. Des réceptions confinées dans l’intimité d’un building, réservées à l’élite de la société, des entreprises entières à la solde de ses parents, une relation privilégiée avec les plus hauts gradés du Gouvernement, tout plaça Phérêne sur un piédestal établi pour elle personnellement. Malgré tout cela ne suffit pas à entamer les valeurs sûres auxquelles elle s’accrochait et qui se faisaient que trop rare dans son milieu : l’honnêteté, l’amabilité, l’aide à son entourage… Tant de doctrines qu’elle appliquait à la lettre, dictées par un cœur d’or incorruptible.

Mais tout finit par basculer. Lorsqu’elle eut une dizaine d’années, les conflits faisaient rage à Catharlys entre Gouvernement et Résistants ou peuple. Certains scientifiques sentaient leur « créativité obstruée par la toile indéchirable de l’Imperator qui étouffait dans l’œuf leurs espérances ». Ainsi, ils décidèrent, avec un groupe d’extrémistes, d’une solution radicale : chantage, kidnapping et manipulation. Phérêne se retrouva sur une table de dissection, attachée comme une criminelle. Tout avait changé à l’intérieur d’elle, elle le sentait bien. Dans sa nuque, une boule pas plus grande qu’une tête d’épingle, noire, témoignait de son expérience. Des hommes en blouse blanche lui expliquèrent tout : on lui avait implanté une puce décuplant ses capacités physique, faisant d’elle une wonderwoman des temps modernes. Leurs projets : créer une armée d’enfants de hauts dignitaires du Gouvernement qui, le temps venu, se rebelleraient contre leurs géniteurs et détruiraient le système politique.

Voilà ce qu’elle était, à présent : un soldat à la solde d’un groupe de scientifiques et de rebelles fous à lier. Dans ce bâtiment austère, dans cet univers carcéral à l’intérieur duquel, dans le plus grand secret, on lui apprenait tout ce qu’elle avait à savoir pour faire d’elle un parfait homme de main, une centaine d’autres victimes de leurs projets d’avenir étaient enfermées. L’endoctrinement leur faisait, jour après jour, oublier le monde extérieur et la notion de liberté nichée au cœur de leur âme, mais le pire étaient les mutations. Le jour ils étaient tous de simples espions, camouflés en civils. Certes ils se battaient aussi naturellement qu’ils respiraient, leur entraînement militaire les poussait à analyser une situation dans les moindres détails, mais ils pouvaient au moins se faire passer pour des êtres humains normaux. La nuit, ils n’étaient plus que des prédateurs en quête de sang, cadavre ou combat à mort. Leurs sens décuplés, leurs aptitudes physiques hors du commun, leur instinct à la fois animal, militaire et robotique contre lequel ils ne parvenaient à lutter, plus rien n’était humain. C’est cette nouvelle identité que Phérêne dût dompter pendant les dix ans qu’elle passa dans ce centre, cachée du monde, effectuant de simples missions d’exercice, certaines plus laborieuses que d’autres. C’est au cours d’un exercice particulièrement difficile qu’elle perdit une main, très vite remplacée par un implant métallique.

Sa vie fut ainsi… Jusqu’à l’évasion. Trente soldats, tous d’une vingtaine d’années, parvinrent à s’échapper du centre en déjouant les surveillances électroniques et l’attention des gardiens. Relâchés dans le monde après dix ans d’une captivité à des fins militaires, ils se séparèrent vite, conformément à leur formation, et se noyèrent dans la masse. Phérêne en faisait partie. Elle parvint, au bout d’un an, à retrouver sa famille qui mit plusieurs mois à intégrer l’idée qu’elle n’était pas morte. Mais Phérêne, dont la captivité provoqua un choc psychologique très fort, prétendit être devenue amnésique et ne parla jamais du centre. Réapprendre à vivre en liberté fut laborieux, et toutes les nuits elle prend à présent possession de Catharlys. Quelques fois il lui arrive de retomber sur un de ses camarades, mais la solitude, pendant sa mutation, n’est que plus accrue depuis sa libération. Elle a entendu dire que le centre, dont elle n’a jamais su le lieu, a été disloqué et que ses créateurs, avant de disparaître, éparpillés dans tout Imperio, ont effacé toutes les traces d’une quelconque existence de cette organisation et d’un projet d’armée. Mais elle ne veut plus y penser, elle tente simplement de reprendre une vie la plus normale possible et d’oublier les atroces évènements de son passé. Oublier qu’elle est une machine de guerre. Oublier que ce n’est pas un piercing mais une puce électronique qu’elle ne peut retirer en espérant rester en vie et qui permettra un jour ou l’autre à ses kidnappeurs de la retrouver, qui est fichée dans sa nuque. Oublier que lorsque le soleil se couche, quand les étoiles reprennent leur poste, elle devient une créature inhumaine. Oublier que plus jamais elle ne sera une jeune fille normale…

Compléments (thème musical, armes, etc...) : Du fait de sa formation militaire, Phérêne est capable d’utiliser n’importe quelle arme. Ses capacités physiques, la nuit, sont décuplées : elle peut bondir de plusieurs mètres de haut, ce genre de choses…

Thème musical : http://www.deezer.com/#music/result/HIM


Erevan Ariménie

Fiches prédéfinies Erevan10


Nom : Ariménie

Prénom : Erevan

Age : Dix neuf ans

Taille / poids : 1 mètre 80 et 70 kilos

Origine : (Au choix)

Description physique : Erevan est un jeune homme principalement caractérisé par son physique très avantageux. Sa peau diaphane contraste admirablement avec ses cheveux d’un noir d’encre assez longs pour balayer le bas de son dos. Ses yeux bleu océan feraient se damner un ange et possèdent un indéniable pouvoir de séduction qui se révèle bien utile selon les situations. Son corps est bien formé, musclé et attirant, ses gestes délicats et gracieux ainsi que ses expressions calculées pour être à la fois manipulatrices et irrésistibles font de lui un séducteur hors pair. Il faut bien avouer qu’il en profite pour arriver à ses fins auprès des demoiselles aussi bien que des jeunes hommes en mal de chaleur corporelle.
Son métier lui impose bien souvent une nudité, partielle ou intégrale selon les convenances, mais lorsqu’il est vêtu c’est immanquablement d’un pantalon noir porté bas sur les hanches, le torse la plupart du temps nu ou couvert d’un fin t-shirt opaque. Tout ce sombre accoutrement met en valeur ses traits fins, presque efféminés mais néanmoins mystérieux.

Implants cybernétiques : Un oeil

Caractère / qualités - défauts : Erevan est doux et gentil à première vue, mais derrière ses airs d’enfant de cœur se cache un manipulateur premier dans son genre, toutes catégories confondues. Il joue effrontément avec les malheureux assez imprudents pour lui faire confiance et finit bien souvent par les laisser tomber, lassé. Les liens humains profonds ne sont pas pour lui, il leur préfère largement l’éphémère. La vérité c’est qu’il a peur de la souffrance et redoute par-dessus tout que les personnes auxquelles il finirait par s’attacher l’abandonnent. Ainsi son tempérament sauvage abrite un cœur plein de douceur et de solitude qu’il tente de combler par des caresses sensuelles auprès de personnes qui ne lui demandent rien de plus qu’une nuit à partager, elles. En effet, le sens des responsabilités l’effraye, il se sent incapable de s’engager dans quoi que ce soit et sa liberté se montre parfois trop envahissante, au point de l’isoler totalement du monde. En agissant de façon immorale il se protège de tout ce qui lui semble fatal : l’affection, l’amitié, l’amour… C’est un grand solitaire sous ses apparences d’homme entouré. En amour comme en amitié, une relation ne dure jamais plus d’une semaine, il finit inexorablement par s’éclipser, se faire oublier, partir pour ne plus jamais revenir. La peur est son like-motiv, c’est elle qui lui permet d’avancer. Mais pour aller où, ça, il l’ignore…

Biographie : Erevan est né une nuit d’hiver maculée de gros flocons. Sa mère, que la dureté de la vie n’avait pas épargnée, logeait dans une masure financée par le père d’Erevan, que la peur de la paternité avait fait s’enfuir avant la naissance de l’enfant. C’est dans cet environnement pauvre, insalubre, dévasté, qu’il grandit. Seul l’amour que mère et fils échangeaient les réchauffait, les temps étaient rudes. Une enfance instable, oui, mais heureuse. Un climat difficile mais apaisant. Erevan s’appuyait sur sa mère, d’une sagesse et d’une douceur qui le soulageait, et elle faisait de même avec son fils, alors si éloigné de l’être qu’il allait devenir…

Très tôt, pour subvenir à leurs besoins, le jeune homme dû trouver du travail. Livreur de colis pour commencer dans une société où le patron exécrait ses employés et ne rechignait pas à les faire travailler plus que de raison pour un salaire de misère, il finit par démissionner au bout de cinq ans de torture lorsque la cruauté de son patron le poussa à le battre. Sa mère, réconfortante, lui promit qu’il trouverait vite un autre emploi, et sa promesse se concrétisa : à dix sept ans, Erevan était devenu d’une beauté exceptionnelle, et il se fit embaucher dans une agence de mannequinât à la réputation certes précaire, mais dont le salaire offert ne se refusait pas. Ses formes parfaites, ses cheveux de soie noir corbeau, son sourire aguicheur et ses yeux saphir attirèrent vite un public de plus en plus large et en moins de deux ans il se forgea une image que les couturiers s’arrachaient. Sa mère, tombée malade, ne crachait par sur l’argent qu’apportait son fils afin de lui payer les meilleurs médecins et tous les remèdes possibles et imaginables. Mais le jeune homme dépérissait en même temps que sa tendre mère, il ne parvenait à envisager la vie sans elle, qui restait tout ce qui lui était cher. Lorsqu’elle mourut, Erevan sombra dans la dépression. Il quitta les podiums et para sa vie de déchéance : luxure, vol, combats en tous genres, puis prostitution.

A son plus grand étonnement, cette pratique l’apaisait. Il avait économisé assez d’argent pour vivre, et ne cherchait pas à subsister de cette façon, il le faisait pour le plaisir. Combler hommes ou femmes en manque d’amour lui permettait d’oublier sa propre solitude, sa propre peine. Celui qu’il était dans son enfance s’éteignit comme une bougie qu’on souffle et un tout autre personnage naquit de ses cendres : un être présomptueux, charmeur, manipulateur, arrogant, qui n’aimait rien ni personne. Gigolo de luxe, il se servait de son « métier » pour infiltrer les plus hautes sociétés et se jouer des aristocrates qui piétinaient, avec leur argent à profusion, les classes les plus miséreuses, crevant la gueule ouverte sous leurs yeux. Cette attitude donnait à Erevan une forte envie de vomir et l’emplissait de violence, lui qui avait été élevé en pauvre, et ainsi il agissait autant qu’il le pouvait pour combattre cet odieux fonctionnement de la société. Il avait perdu l’habitude de dormir, son sommeil étant hanté par les fantômes de son passé, et passait ses nuits dans des boîtes huppées à s’amuser de voir de misérables pantins se coller à lui en espérant qu’il retiendrait leur visage plus d’une demi seconde. Il se contentait de cette vie, n’en demandait pas plus et ne s’attardait jamais sur son passé. Il risquait bien trop de faire jaillir des souvenirs qu’il valait mieux oublier…

Compléments (thème musical, armes, etc...) : Erevan ne se bat pas, son arme la plus fatale est sa séduction ou ses mots. Mais attention, il peut se montrer très dangereux…

Thème musical :http://fr.youtube.com/watch?v=lD4_Pu-czy4
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